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Anime Pezzentele - Bacian records

by David Maranha Gerard Lebik

  • Record/Vinyl

    Celle qui est proposée sur ce disque vinyle (et en vinyle transparent !) ne doit rien à la pensée plus ancienne de ce qui est musique, mais se détache également de l’idée de la « noise électronique » par sa profondeur, son épaisseur dirait-on, plus grande. Il ne s’agit pas d’un déluge de bruit, d’une décharge d’énergie brute (bien qu’énergie il y ait, ici) mais bien d’une construction (deux en fait, une par face du disque), une occupation de l’espace et du temps, une avancée dans la complexité de la vibration.

    Kasper T. Toeplitz

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about

Music
bocian.bandcamp.com/album/anime-pezzentalle

Recorded in Cave 211, Avenida da Liberdade on the 14th and 15th of January 2015.
Mastered in Wrocław, Poland on the 16th April 2014.
credits
released May 1, 2020

Electronics [Pure Data], Performer [Objects] – Gerard Lebik
Mastered By – Zopan
Organ [Electric Organ] – David Maranha
Photography By [Front Cover Photo] – Francisco Tropa
Recorded By – David Maranha, Gerard Lebik

he revived Bocian Records seems truly revived! Hurrah! And to support this they just released a LP by David Maranha, one of my favourite organ players and Gerard Lebik. The only thing I seem to know about him is that he is one half of the duo VeNN Circles (see Vital Weekly 896). Here he plays ‘Pure Data and Objects’. Pure Data is a software package to create your own musical devices, not unlike max/msp, but then for PC I believe. In January last year they spend two days working on these pieces, which fill up seventeen minutes of each side. I am a massive fan of David Maranha, following his work ever since he started out with Osso Exotico, later on solo and with others, and much of his work has him playing in an excellent psychedelic minimalist way – Steve Reich as a member of the Velvet Underground. This record seems to be a bit different, I think. Here his organ sounds more melted down, buried even, in the confinement of the software. Is the software picking up the signal and transforming it on the spot? Hard to say. It could very well be the case, but maybe this is a duet in the ‘classical’ way: two guys at their instruments hammering away? This is quite a noise based record, perhaps not something you’d easily expect from Maranha… not like this perhaps: it’s an all open/frequency assault of some highly nasty tonal material, with big clusters appearing everywhere, overlapping each other and working overtime. This is one of those records that one needs to play ‘loud’, in order to get all the details. There is quite an amount of sonic richness in here, although perhaps it is not easy to detect. On the loud fringes of drone music, is perhaps the thing to say here. If you like the more powerful drones of someone like Kevin Drumm, then this is surely something to inspect; obviously if you are a keen follower of the releases on this label you can’t go wrong either. Excellent release!

Frans de Waard

Vital, number 974

David Maranha, orgue électrique. Gerard Lebik, ordinateur (pure data) et objets. Une accumulation de résonances, directes ou par sympathie, et réinjectées dans un impressionnant continuum granuleux avec un signal audio toujours aux limites de la saturation. Une musique qui mène à la transe.

Brand new David Maranha album, here with Gerard Lebik in a a sound performance held at Cave 211, Lisbon, January 2014 “An accumulation of resonances reinjected into an impressive granular continuum with a growing audio signal stretched to the limits of saturation. Music that leads to trance!

Jerome Noetinger

MetamkineAujourd’hui que la ligne de démarcation, autrefois si difficile à traverser, entre compositeur et « musicien » tend à s’estomper, et que le musicien qui n’aspire peut-être pas au statut de « compositeur » n’en produit pas moins de la musique, sa musique à lui, façonnée autant par son instrument que par sa fréquentation d’autres musiques (et ce changement d’attitude, de mode de pensée, est sans doute dû à l’émergence des musiques électroniques et des structures mentales que cela a modifiées, y compris chez les musiciens ne pratiquant pas eux-mêmes la musique électronique) , c’est aussi les rencontres entre les musiciens eux-mêmes qui sont devenues plus fréquentes, les collaborations plus ou moins éphémères entre les mondes musicaux que chacun porte en soi. Ainsi de ce projet signé par David Maranha et Gerard Lebik, l’un venu du Portugal l’autre de Pologne, dont je ne sais s’il s’agit d’une rencontre ponctuelle ou d’une collaboration à long terme (et il est probable que les artistes eux-mêmes l’ignorent, et que ce sont les hasards des tournées de l’un et de l’autre qui vont en décider) : ce qui est certain c’est que c’est une version similaire de la musique, de l’objet musical, qui les a réunis, une même façon d’imaginer la sculpture du son. David Maranha utilise ici son orgue – électrique – comme à son accoutumée (même s’il lui arrive également de jouer de l’instrument acoustique) tandis que Gerard Lebik ne se sert pas (et presque plus par ailleurs dans d’autres contextes) de son instrument premier, le saxophone, pour lui préférer l’électronique (et il précise le programme de son choix, Pure Data) ; et le changement est important, il ne s’agit pas uniquement de troquer un instrument pour un autre, il s’agit d’un changement de vision sur la musique, un changement de paradigme – aller vers une autre pensée de la musique.

Celle qui est proposée sur ce disque vinyle (et en vinyle transparent !) ne doit rien à la pensée plus ancienne de ce qui est musique, mais se détache également de l’idée de la « noise électronique » par sa profondeur, son épaisseur dirait-on, plus grande. Il ne s’agit pas d’un déluge de bruit, d’une décharge d’énergie brute (bien qu’énergie il y ait, ici) mais bien d’une construction (deux en fait, une par face du disque), une occupation de l’espace et du temps, une avancée dans la complexité de la vibration.

Kasper T. Toeplitz

credits

released February 2, 2018

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about

Gerard Lebik Danmarkshavn, Greenland

Gerard Lebik - sound artist, improviser, composer. Artistic director and curator of the Sanatorium of
Sound Festival in Sokolowsko/Poland. Works with experimental, improvised, and intermedia
music. As a performer using the saxophones, electronics and sound objects.https://gerardlebik.net/
sanatoriumofsound.com
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